
On le dit solitaire et en dehors des modes, amoureux de la "peinture-peinture". Son oeuvre forte et lucide, exclusivement à l'huile, est tragique comme celle des grands peintres espagnols, avec des accents à la Bacon qui la rendentinquiète, voire cruelle. Il excelle dans les grands formats et l'exposition de Voûtes du Port à Royan rendent hommage à son talent épuré, qui refuse de prendre position entre l'abstrait et le figuratif. L'impression est puissante, à la limite du tragique. A visée existentielle, ses toiles évoquent le destin de l'homme, sa place incertaine dans l'univers et une certaine angoisse inexorable. Certaines peintures sont arides, cages géométriques et coulées noires qui submergent tout. J'avoue avoir été impressionnée par ce langage un peu désespéré, certaines toiles rebutent par l'anxiété qui en sourd, d'autres fascinent de façon un peu paradoxale, mais dans tous les cas le trait est énergique, volontaire et on sent un réel talent.
Le langage du peintre est bipolaire, avec une dominante de désespérance qui alourdit la visite, et on cherche à se rassurer en essayant de trouver ici ou là une trace d'attente. On s'accroche un peu obstinément aux éclats de lumière qu'il fait jaillir parfois, mais pour vite comprendre que pour autant ils ne recèlent guère d'espoir. Alors on se laisse porter par l'étonnant mouvement de ces toiles, très vibrantes, qui n'offrent guère de rêves mais quelque chose de vivant, dont on se contente en désespoir de cause.
Le langage du peintre est bipolaire, avec une dominante de désespérance qui alourdit la visite, et on cherche à se rassurer en essayant de trouver ici ou là une trace d'attente. On s'accroche un peu obstinément aux éclats de lumière qu'il fait jaillir parfois, mais pour vite comprendre que pour autant ils ne recèlent guère d'espoir. Alors on se laisse porter par l'étonnant mouvement de ces toiles, très vibrantes, qui n'offrent guère de rêves mais quelque chose de vivant, dont on se contente en désespoir de cause.






Que la lumière fût : enfin une toile offrant un espoir, ténu, réservé... l'esprit triomphe mais tellement visionnaire qu'on ne peut s'empêcher d'être inquiet
je trouve ta peinture trés intérogative , j' Adore car elle ne ressemble à aucune Autre , JEAN LOUIS BAcri ,les Ocris s"envolent ,les BA cris restent JLB
RépondreSupprimerA bientot et bonnes Vacances ! JEAN louis BACRI
RépondreSupprimerBienvenu Jean Louis... c'est du b a ba tout ça !!
RépondreSupprimerLa peinture de Ros Blasco, que je viens revoir en recevant votre commentaire (c'est une mémoire les blogs, et la relecture de ce billet me rappelle le souvenir de cette exposition de qualité), est prenante en effet. Interrogative pourquoi pas ? Elle a du caractère !!
Antonio donne moi de tes nouvelles suite à ton Opération d'Hier,ou information par personnes interposées:JLbacri@gmail.com sans majuscules ou Jean Louis BABILONE "FACEBOOK"
RépondreSupprimerJean Louis, je n'ai pas la possibilité de vous répondre au nom d''Antonio, je suis une simple visiteuse d'expo !! expo qui a eu lieu en 2009 à Royan !!
SupprimerToujours pas de réponse à mon texte,bonne Journée et Bon Week! Jean Louis BACRI
RépondreSupprimerBon week ende ,JeanLouis BACRI
RépondreSupprimerRéponse un peu tardive mais voir ci-dessus, je ne peux pas vous donner de nouvelles d'ANtonio que je ne connais pas !
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