LA RUPTURE EST CONSOMMEE !

J'attendais que Koka, mon interlocutrice privilégiée, ait joué pour vous donner la solution de cette sulfureuse histoire de départements... Koka a d'ailleurs rajouté une petite variante à ma lettre de rupture, que j'inclus dans ce "corrigé"... Ah ces profs, mettez-leur un stylo rouge entre les doigts, ils frétillent !

Yves, L'inévitable (Yvelines) est arrivé. Je ne gère (Gers « à la parisienne ») plus. Quand, talisman (Cantal) égaré, vous m'avez rencontrée, nous nous sommes (Somme) séduits, et aux deux (Aude) amoureux que nous étions, tout semblait possible. Vous me disiez gironde (Gironde), et je vous trouvais "chat" ! Rente (Charente) des premiers émois, nos corps se (Corse) livraient au vent des (Vendée) passions. La passion est un art, dèche (Ardèche) des esseulés. Et entre nous, cet art n'est plus.
Car l'or ne (Orne) peut être attendu d'un avare (Var). La réunion (La Réunion) de vos talents supposés me laisse désormais indifférente. Vos jeux, (Vosges) que vous tirez d'une manche (Manche) experte, m'ennuient d'une façon fort haute. Gare aux noeuds (Haute Garonne) que vos vilaines mains gercées (Gers, prononciation locale, la vraie !) vont encore se risquer à tisser. Gare (Gard) aux lourdes ardoises (Oise) de l'amour. Il n'y a plus rien à espérer de cette loterie (Lot). Inutile de feindre (Indre) : je n'ai même pas ri (Paris) en votre compagnie, et vraiment (Nièvre) j'en ai marre, ne (Marne) vous y trompez pas. Retournez donc cultiver vos clusies (Vaucluse).