Nous sommes tous et toutes plus ou moins des amoureu(ses)x de la chose écrite : nos tables de chevet le prouvent sans conteste. Nous aimons les carnets, les croquis ou les photos, selon le temps disponible, les talents ou simplement l'audace que nous sommes à même d'exprimer.
Et parfois, comme Sacha dans son billet anniversaire, comme Colibri dans le commentaire dont elle l'accompagne, nous nous demandons ce que nous fichons là, avec cette quasi addiction au billet quotidien. Le nôtre que nous essayons de rendre neuf chaque jour, même quand l'inspiration fait défaut ou que notre vie est trop plate pour nous fournir ne serait-ce qu'une aspérité sur laquelle rebondir. Et celui de nos copinautes (le mot est d'Oxygène et a été repris avec enthousiasme à la ronde), dont nous sommes ravi(e)s d'avoir des nouvelles, drôles parfois, sincèrement affecté(e)s quand une épreuve les touche et qu'il(elle) nous en parle pour évacuer le trop-plein de tristesse ou de blues. Les commentaires, je l'ai remarqué, parfois simple coucou quand tout va bien, deviennent plus circonstanciés, pensés, écrits avec le coeur, quand l'autre est dans la peine.
Et pourtant, nous nous interrogeons, nous doutons de l'efficience de ce temps (perdu ???) passé à écrire, à faire des montages photos, avec application, avec le souci de bien faire pour partager avec des inconnu(e)s quelques moments marquants. Certain(e)s construisent avec fidélité des rendez-vous hebdomadaires pour faire le point comme Lulu et son JDD... quel travail !! Et nous continuons, nous renâclons parfois, nous avons des doutes et des hésitations, mais le lendemain nous sommes encore là. Pour combien de temps, l'avenir nous le dira, car rien n'est plus incertain que cette nébuleuse mystérieuse qu'est l'amitié bloguistique. Comme nous nous disions avec l'une d'entre vous qui se reconnaitra, le jour où nous nous sommes rencontrées "pour de vrai", nous avions ce jour-là l'impression de nous connaître depuis une éternité ! Magie de l'échange internet, sincérité absolue de ces billets où, sauf à être vraiment paranoïaque, on apparait au fil des jours en toute transparence. Même si on reste pudique, prudent, réservé, à travers les choix des sujets, les commentaires postés de ci de là, les images publiées, nous sommes, pour ceux qui nous suivent avec amitié, vite mieux connus.
Mais le sujet de mon article n'est pas, contrairement à l'apparence, pourquoi blogons-nous ? Sujet qui d'ailleurs fait la "une" des blogs avec une régularité de métronome, tant la question est intrigante. Je voulais en réalité juste parler des compteurs : l'introduction d'un tel outil sur un blog peut sembler pédante et inutile. Et, de fait, sans doute l'est-elle... sans compter que parfois avec cet indicateur, on introduit un loup dans la bergerie, faute d'être assez doué en informatique pour comprendre le petit logiciel qu'on colle sur son site. Mais je tiens au mien, d'abord car il me permet chaque jour de m'émerveiller qu'une vingtaine ou une quarantaine de personnes soient passées par là... C'est encore étonnant d'être lu, ou au moins vu. Et surtout parce qu'il réserve parfois des surprises qui émeuvent : ainsi, avant hier jour de l'article sur "Contes de l'âge d'Or" j'ai eu la visite de 2 roumains... Quand je vois qu'il y a eu un lecteur Chinois, je sais qu'Emmanuel est passé par là. Les suisses et les canadiens sont bien sûr vite identifiables. Mes amis italiens aussi !! Et pour le fun, je trouve parfois un grec, un indien ou un hongrois... Chaque fois, je m'enchante de la puissance de l'Internet et suis toujours très impressionnée. Ces visites sont modestes, et le compteur n'est pas là pour me rengorger, mais ses annonces me font toujours plaisir. Pas autant que vos commentaires, toutefois !! Qui eux sont autant d'étonnements quotidiens, à cause de leur qualité, de leur implication, de leur indulgence.
Bonjour, Michelaise.
RépondreSupprimerLa marée est basse en effet et le sable permet d'écrire un roman, aussi futile qu'il soit, puisqu'il sera éffacé quand elle reviendra.
Je partage toujours tes réflexions même si je n'en laisse pas de trace.
Je fais partie de ceux que tu cites dont les commentaires sont courts ou inexistants.
Cela dépend.
Non pas de la qualité du texte, mais tout simplement du temps pour y répondre ou de la capacité à le faire.
Je m'interroge moi aussi souvent sur l'intensité de vie qui circule dans la blogosphère et j'y suis si sensible que je vis les événements contrariants des uns ou des autres
aussi fortement que dans le monde réel.
J'en suis d'ailleurs si affecté que j'aimaerais souvent supprimé l'espace qui nous sépare les uns des autres.
Et je sais bien que ce n'est pas possible.
Donc, il ne faut pas se replier dans ce monde à la puissance quelquefois diabolique. Mais en même temps il est difficile de ne pas le faire...
Le compteur ? il compte, aussi habile qu'un travailleur de l'INSEE.
Il rassure, il étonne.
On sait ainsi en effet que par internet le monde n'existe pas...
Merci beaucoup pour ton texte et tes mots sur mon site.
Bonne soirée.
Je t'embrasse.
Le compteur, et bien moi aussi j'en ai mis un sur mon blog. Par curiosité? Savoir qu'on peut être lu par ..... tout ce monde là !!!!!!C'est étourdissant....
RépondreSupprimerReste à en mettre un avec la provenance de tous ces visiteurs. J'avance doucement dans cette blogsphère depuis le mois de juillet.
Entièrement d'accord avec toi c'est quand même les coms' qui ont notre préférence!
Tu as tout à fait raison quand tu dis que les "vraies" rencontres sont la prolongation des virtuelles... Incroyable ! Même quand elles se font par téléphone !
Bonjour Michelaise! Tu traduis parfaitement ce que je ressens face à ce gadget statistique. A part te saluer (rapidement car je suis au boulot) je n'ai rien d'autre à ajouter si ce n'est "Bises à toi chère amie, et passe une belle journée!"
RépondreSupprimerTellement juste votre billet. Toutes ces copinautes nouvelles alors que depuis 40 ans que je vis dans la même ville, je n'ai pas une seule amie!!!!C'est une renaissance pour moi et Dieu sait que je n'arrive pas à écrire les commentaires que je souhaiterais, j'ai du mal à mettre en mots ce que je ressens. Tout à l'heure, une copinaute va venir chez moi étant de passage sur Biarrit, super !
RépondreSupprimerQuant au compteur, sur le point d'arrêter mon blog en pensant que ça ne devait pas intéresser grand-monde, j'ai été agréablement surprise et émue de voir qu'à l'autre bout du monde, des connexions s'établissent. Bonne continuation !
Bonjour Michelaise et avant d'entamer la discussion merci pour cette parenthèse des "copinautes". J'ai un peu peur de ce que tu as écrit d'ailleurs car est-ce réellement moi qui ai joué avec ce mot la première ??? J'avoue ne plus savoir...
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les blogs, je suis comme toi étonnée et émue à la fois des liens qui se créent spontanément au fil des jours. Je me rappelle d'un de tes articles où tu disais un jour parler de tes copinautes en famille et les citer en précisant "Untel a dit ça, unetelle a dit ça..." Comme toi je partage souvent avec mon compagnon réflexions et photos trouvées sur le net. A ce propos tu as droit à nos doubles félicitations pour le magnifique coucher de soleil que tu as intséré dans ton texte.
Les rencontres pour de vrai avec les blogueurs sont effectivement étonnantes car il est vrai qu'il n'y a pas d'hésitation, pas de retenue... On finit par se connaître si bien... J'y pensais avec étonnement hier... je me rends compte que je corresponds et donne des nouvelles à des "inconnus" chaque jour alors que je n'écris pas autant à ma famille ou a mes amis de la "vraie vie"...
Je poursuis ici car j'avais rempli tout l'espace "autorisé"... Je suis une pipelette.... ;-)
RépondreSupprimerEn tout cas, je ne peux pas ignorer la joie que j'ai de communiquer par blogs interposés. C'est une autre ouverture, une découverte et un plaisir chaque jour renouvelés. C'est une occasion d'échanger et d'apprendre et c'est aussi, comme tu le dis si bien, ce bonheur immense d'écrire, de chercher les mots qui conviennent, pour toucher, faire sourire, ou simplement intéresser...
Je suis contente d'avoir ouvert un jour "Le petit Renaudon"
on peut...donner sans compter...aimer sans attendre...etc...bref, on peut toujours bloguer...et compter sans que ça compte ;-))) bises
RépondreSupprimerJe me suis reconnue!!
RépondreSupprimerMalgré tes excellents arguments,je ne suis toujours pas tentée par le compteur.
Les visites et commentaires de certaines personnes qui n'ont pas de blog sont "mon compteur",pas plus tard que le semaine passée Andrée qui n'a pas de blog se manifestait pour me donner des idées de balades dans les Vosges
Je suis d'accord avec toi pour ce qui est de l'addiction au billet quotidien bien que pour moi l'addiction soit davantage de découvrir les billets des autres et de laisser un commentaire et durant mon exil hebdomadaire c'est cela ma plus grande punition,pas toujours facile,pas toujours facile d'apprécier un billet et de laisser un commentaire sur un écran de 12 centimètres sur six!!!
Michelaise j'ai aimé ..ton billet
RépondreSupprimerC'est vrai pourquoi bloguons-nous ? à cette question ça bouillone sous mon chapeau : pour des tas de bonnes et avouables raisons et puis et surtout pour le partage serais-je tentée de dire !juste pour le partage ? oui en grande partie ! Beaucoup de personne sont motivées pour offrir aux autres leurs propres passions et partager en retour celles des autres C'est fou les découvertes que j'ai pu faire grâce aux blogs que je consulte quotidiennement sans compter la découverte de leur propriètaires-rédacteurs personnes toujours attachantes avec de forte personnalité , ces liens virtuels sont tous uniques et passionnants
C'est vrai que nous y passons un temps fou ( les blogs culinaires sont ceux que je connaisse le mieux ) étant je pense les plus oufs de la blogo ) car il faut faire le choix " de le bonne recette , faire les boutiques pour les ingrédients pester comme un charretier en tenant un vocabulaire à la capitaine Haddock ( si, si ! ) lorsque l'un deux manque et vous fiche en l'air votre programme ( toujours très pensé serré et calculé ce programme car il est presqque toujours défini deux à trois mois à l'avance ) puis réaliser cette dite voir parfois maudite recette qui vous prend la tête voir du temps et de la patience et plus si affinité ,éviter les ratages ( ben tiens cela vous arrive plus souvent que l'on ne le souhaitrait , commencer à douter de ses dons de cuisinière rires ... bref ) enfin ... la refaire pour plus de perfection et la cerise sur le gâteau la prendre en photo cette action dernière n'étant jamais la plus simple : mauvaise lumière = forcément un plat pas très engageant pour vos visiteurs qui n'auront nulle envie de la cuisiner pour cela )et puis ..et puis ...un jour il me faudra écrire un billet sur les turpitudes de cette démarche je vous promets des larmes de rire si ..si !
Je me suis éloignée du sujet : compteur
J'ai un jour mis un compteur pour savoir ..
Savoir quoi ? et bien si l'on me rendait visite et si je ne prêchais pas dans le desert ...( c'est la seule coqueterie de mon blog !
Le blog : sujet à thèse ...
Je te souhaite une très belle fin de semaine
A++Sacha
Je ne viens pas de si loin, la lecture de ce billet m'a fait voyagé, que demander de plus...avant de fréquenter les blogs je lisais de nombreuses revues...maintenant je n'en lis plus !
RépondreSupprimerBonne soirée.
Je crois que le but premier des blogs est de communiquer, un prolongement moderne du réel et chacun le fait avec sa propre sensibilité et de montrer son savoir faire dans son domaine. Quant au compteur, un gadget pour curieux donc je fais partie.
RépondreSupprimerLe blog et ses accessoires indispensables….à entretenir l'addiction ;-)
RépondreSupprimerSympathique ce compteur qui emporte tes coups d'coeur de l'autre coté de l'océan.
Ici internet a changé la vie. L’animation, le monde, le bruit, la foule comme à la ville, sa diversité, ses opportunités, sa culture ont fait irruption dans ma cuisine… tout en préservant ma solitude.
C’est mon bistrot, mon p’tit noir au comptoir, mon papotage aléatoire ou avec les habitués ;-). J’y croise parfois amis, famille, enfants, mais pas tous les jours, pas toujours aux mêmes tables, ni aux mêmes heures, certains se font discrets d’autres secrets, j’apprécie l’opportunité d’un autre regard sur moi-même ou sur certains instants de ma vie.
Je frime devant deux bordelais avec l’expo Dali-Goya qu’ils ont loupée, je note les titres des prochains DVD, et parfois parce qu’il serait plus facile à dire qu’à écrire, je renonce à raconter mon enfance de l’Art du mendiant de Murillo à l’abstrait des années 70, tout en cherchant des photos de ma 2CV ;-)
Bon c’est pas tout ça, je file préparer le JDD ;-)….
Merci Michelaise, haute ou basse je reste amarrée !
Oui c'est un vrai plaisir et une vraie émotion de se savoir lue à l'autre bout du monde, moi aussi je me suis demandée et me demande encore, mais comment sont-ils arrivés chez moi ? et quand certains pays reviennent à intervalle régulier, ce n'est pas forcément un hasard ou une erreur d'aiguillage, ces lecteurs là sont peut-être venus VRAIMENT exprès !j'ai beaucoup aimé vous lire, vous exprimez si bien ce que je pense... le monde des blogs est vraiment un sujet d'étonnement et de questionnement sans cesse renouvelé...
RépondreSupprimerMoi je n'ai pas installé de compteur sur mon blog - je prends ça pour une dérive audimatique - mais en revanche j'ai installé un outil statistique qui m'indique le nombre de pages vues par jour et surtout les voies d'entrées vers mon blog, cad les mots clés par lesquels les internautes accèdent à mon blog. Connais-tu Blog-it express? C'est pas mal du tout! En dépit des commentaires des lecteurs, ça permet de savoir quels sont les articles qui marchent ou qui ne marchent pas. Tous les jours, par ex., j'ai des gens qui recherchent le meilleur mille-feuilles sur Paris, tous les jours il y a des gens qui s'intéressent à Nathalie Heinich (j'ai même eu une fois une recherche : NH est une conne!!!). Donc ceux qui tapent dans Google "meilleur mille-feuilles paris" ou "nathalie heinich" tombent instantanément sur mon blog!!! Sans blog-it, je ne l'aurais jamais su. S'agissant des commentaires, c'est vrai que, comme le disait quelqu'un, tout dépend du temps, ce n'est pas la même chose quand on travaille tous les jours et quand on est à la retraite par exemple, moi je sais que je n'ai pas toujours le temps en semaine de lire mes blogs et que je rattrape mon retard le week-end. Mais dans tous les cas de figure, ça fait plaisir de savoir qu'on est lu et encore plus plaisir de savoir qu'on est commenté. De ce point de vue, tu détiens la palme de la plus fidèle commentatrice et je te dis merci!!!
RépondreSupprimeroups ..je gagnerais à relire mes commentaires avant de les poster (dame .... quel charabia !!!)
RépondreSupprimerPar contre j'ai aimé les vôtres ..
A+Sacha
Herbert, j’aime vraiment l’idée du livre à écrire que le sable, mais pour de vrai, pas seulement deux mots du genre « je t’aime », une vraie histoire que la marée viendrait effacer doucement… il faudra que je fasse un jour cela ! Quant aux commentaires, sache qu’ils sont toujours accueillis comme des petits cadeaux, longs, courts, circonstanciés, en diagonale, c’est toujours étonnnant de susciter réponse, et les tiennes sont toujours très sensibles ! Koka, qui « fait dans la statistique » quand elle ne rédige pas des poèmes dans Mise en Maux, aimerait ta définition du compteur : « aussi habile qu’un travailleur de l’INSEE, il rassure et étonne » … cette remarque mériterait un long développement à lui tout seul. Reste enfin à faire le tri entre la virtualité de nos blogs et la réalité de ces amitiés légères et discrètes qui fleurissent aux coins de nos écrans… Ta fidélité et tes commentaires toujours très « dans le ton » prouvent que la virtualité l’emporte parfois sur ce qu’on nomme la réalité !!
RépondreSupprimerEnitram, « tout ce monde là »… étourdissant en effet… Quant aux vraies rencontres, elles sont une suite tellement naturelle de ces échanges qu’elles contribuent à notre bonheur sur internet !
RépondreSupprimerMerci Esther pour cette formule glissée entre un moment boulot et la petite évasion qu’on s’accorde si volontiers pour alléger la pénibilité de certains moments de travail… Vite un petit tour sur les blogs et cela remet en forme !!
Maïté, toujours ravie de vous rencontrer, et j’aurais tendance à reprendre votre formule « Toutes ces copinautes nouvelles alors que depuis 40 ans que je vis dans la même ville, je n'ai pas une seule amie!!!! C'est une renaissance pour moi et Dieu sait que je n'arrive pas à écrire les commentaires que je souhaiterais »… Ce serait un peu injuste car j’ai cultivé l’amitié, avec un entêtement beaucoup plus grand que celui que je mets à cultiver mes fleurs… et au bout de 40 ans j’ai de vrais amis, peu nombreux mais d’autant plus précieux qu’ils sont rares. Mais on se voit peu, de loin en loin, tout le monde ayant une vie trépidante sur le feu, et rarement le temps de « se voir »… C’est très difficile l’amitié, et celle qu’on improvise sur les blogs a le double mérite d’être quotidienne, suivie et approfondie, et basée sur une communauté d’intérêts : on se choisit et on se garde !!
RépondreSupprimerOxy, je ne suis absolument par certaine de mes sources quand j’affirme que tu es l’inventeur «e » de copinaute, mais j’avoue que cela m’a permis de te citer dans l’article, de mettre un lien vers toi et je souligner au passage ta fidélité et ta présence toujours très amicale. Alors j’ai pris quelque licence avec la réalité historique pour t’attribuer le mot !! Et nous partageons la même approche de cette petite communauté qui nous fait chaud au cœur, et que l’on vit de façon différente… avoue par exemple que la rencontre avec ta fille, c’est hyper sympa pour moi… sans compter que koka a un peu rencontré astheval par la même occasion, et qu’en prime j’ai découvert un truc que je ne connaissais pas du tout : le roman fantasy… je souris car Koka que je viens d’avoir au téléphone et qui se tartine 2 heures de métro par jour m’a dit qu’elle s’était mis au fantasy pour occuper ces déplacements !!
RépondreSupprimerChic, ya des moments je me demande si tu es un matheux qui s’ignore, un romantique qui se cache ou un littéraire refoulé !!! En tout cas, tu as tout compris au problème de compteurs !
RépondreSupprimerAloïs, j’en suis encore à me demander comment tu fais, et apparemment tu fais bien, pour écrire des commentaires sur un écran de téléphone ou d’iphone ou de je ne sais quelle machine moderne dont je n’ai pas encore enregistré le nom dans ma mémoire vive, enfin ce qu’il en reste ! Pour autant, tu vois, ces jours-ci j’ai dû me contenter de valider les commentaires vite parcourus et de lire les articles parus en zigzag, et aujourd’hui j’éprouve le besoin de faire une pause. Tu sais comme autrefois on consacrait une après-midi (ensoleillée de surcroît) à « mettre sa correspondance à jour » !
Sacha, j’ai été « estomaquée » par tes révélations sur les blogs culinaires, je n’avais pas réalisé tout cela. Mais tu as raison l’art de publier des recettes est justement tout un art, ingrédients, plat à point, appétissant, photos réussies etc… et nous, pauvres profanes, on regarde tes photos, tes recettes, en s’étonnant qu’on mange toujours aussi bien et aussi joliment chez toi ! Mais c’est qu’il y a tout une préparation, pro, derrière tout cela. Cela rend tes billets encore plus précieux, et je suis ravie de ton commentaire qui mériterait d’être publié en article ! Pour que justice soit rendue aux blogueurs gastronomes !
RépondreSupprimerEvelyne, merci de votre visite, même si le blog ne vous offre pas un dépaysement très exotique, il vous offre par contre plein de liens vers d’autres blogs amis, remplis de gens adorables !
RépondreSupprimerGérard, j’ai admiré ton compteur mappemonde avec des ronds plus ou moins gros éparpillés sur toute la planète… et la liste exhaustive de l’origine géographique de tous tes visiteurs, et je me suis dit que tu devais être ravi de voir tous ces points !! Ok pour l’idée du prolongement moderne du réel, on progresse dans la définition des blogs !!
Dans le genre, j’aime bien aussi la remarque de Lulu « L’animation, le monde, le bruit, la foule comme à la ville, sa diversité, ses opportunités, sa culture ont fait irruption dans ma cuisine… tout en préservant ma solitude »… le p’tit noir sans avoir à aller au bistrot. Car si à Paris, aller au café est une activité normale, sociale et fort agréable, en province les bistrots ne sont pas toujours très accueillants, on y trouve parfois quelques piliers, pas de rugby mais de p’tit blanc, une ambiance un peu sinistre et vaut mieux la toile ! J’adore quand tu dis Lulu que tu as frimé auprès de tes amis bordelais avec l’expo Goya Dali, je trouve ça sublime et inattendu comme conséquence !! Quant au JDD dès que j’ai répondu à « mes » lecteurs, je fais un saut !!
Catherine, bonjour et bienvenue, vous venez de chez Aloïs me semble-t-il, gris et rose ?? En tout cas, c’est vrai, on se dit, ils sont passés là par hasard… mais si l’on en croit JMV (le commentaire juste après le vôtre), et rien de tel que ces petits jeunes pour être doués avec la technique, on peut même savoir d’où ils viennent ces visiteurs galactiques !!
RépondreSupprimerJMV, bluffée je suis ! Je vais aller voir ton histoire de Blog-it express car savoir quelle requête a amené un passager de la blogosphère à trainer ses guêtres sur Bon Sens et Déraison (alias Petit ReNaudon) me semble tellement étonnant… faut que je vois à quoi ça ressemble !! Merci pour la palme mais j’aime bien croire que les blogs c’est un peu comme la correspondance autrefois et que cela obéit à certaines règles de courtoisie, voire, qui sait, de savoir vivre !
Merci pour ta gentille réponse Michelaise et ta gentille attention. Cela me touche beaucoup, tu peux l'imaginer...
RépondreSupprimerQuant à Koka, qu'elle n'hésite pas à demander des titres à lire à mon Astheval, elle se fera un plaisir de lui en conseiller.
Alors que je n'imaginais jamais accrocher à ce point, j'ai lu sur les conseils d'Astehval 12 tomes d'une série d'aventures de science fantasy dont le nom m'échappe ce soir. Il est temps que j'aille me coucher... ;-)
Je te souhaite un très bon dimanche.
Fais des bises à Koka pour moi !