vendredi 24 février 2012

LA PASTA E PRONTA !

Histoire de couper un peu mes ratiocinations au sujet des expositions et des peintres, un petit épisode-jeu, qui va obtenir, ne n'en doute pas, votre participation enthousiaste, sur un sujet qui nous distraira utilement des pizzas frelatées, de la "médiocrisation" de nos habitudes et des "excès des fausses modernités" (commentaires de Roberto). Tout en nous maintenant dans "nostalgie des avant-match de rugby du temps où la finale se déroulait une année sur trois à Toulouse Bordeaux !" (commentaire d'Aloïs)
Il est, dans nos foyers michelais, une tradition de la pasta qui passe, c'est évident, par le respect absolu et incontournable de la cuisson "al dente", à la romaine dit Alter, qui n'hésite pas à nous imposer, avec le zèle du converti, un craquant qui garantit que le temps maximal autorisé n'a pas été dépassé. Et, dans ce contexte, il y a des préférences : pour Alter, ce sont les spaghetti, champions toute catégorie de sa passion pour "la pasta". Je privilégie quant à moi, les parpadelle pappardelle* qui ont de loin ma préférence. N'allez pas en conclure que nos repas sont uniformes et nous aimons à découvrir des formes nouvelles : c'est d'ailleurs la dernière en date qui m'a donné l'idée de ce billet. 


Trouvés dans une boutique qui vend ce genre de produit rustique au prix du caviar (j'exagère à peine), j'avais acheté deux spécimens inhabituels : les premières nous étaient déjà connues : ce sont des petites langues d'oiseau, en forme de grain de blé et fort judicieusement appelées "orzo pasta". Délicieuses, elles s'accommodent de toutes les façons traditionnelles et offrent sous la langue une délicate impression de riz long.

Ce sont les secondes qui m'étaient inconnues : d'où ma curiosité. Attirée par leur aspect grillé, j'étais persuadée que ces "fregole sarde" auraient un petit goût de noisette, mais j'avoue ma déconvenue. Aucune saveur particulière et une consistance qui ne m'a pas enchantée. Les fregole m'ont laissé une impression d'étouffement qui n'est pas particulièrement agréable.
Et le jeu direz-vous ? Et bien, ce sera un simple révélation : quelle est votre forme de pâte préférée ?? Je suis certaine que nous allons avoir une superbe collection de pâtes variées, chacun ayant à coeur de nous en faire découvrir de nouvelles !

* Pappardelle bien sûr Siù ! explications :
1) je suis mal latéralisée et j'ai un souci avec l'ordre des sons, parpa au lieu de pappar... mais comme de mon temps la dyslexie n'existait pas, je ne me soigne pas !
2) j'ai un problème que tu as remarqué avec les lettres doublées !

35 commentaires:

  1. J'ai lu ton billet précédent qui ne m'a pas lassée du tout, mais que j'aimerais relire, plume en main, car j'y apprends beaucoup de choses que je tiens à noter. Le commentaire viendra donc probablement demain.

    Comme je le constate, ton esprit est déjà tournée verso l'Italia, fortunata! Va be! Pazienza! Un jour, ce sera mon tour!!!

    Donc, pour répondre à ta question, il faudrait préciser la sauce, très chère! J'ai une affection particulière pour les capellini, mais, s'ils sont appropriés avec les vongole, je ne les vois pas avec cette pâte sicilienne qui combine chou-fleur, raisins secs et safran. I buccatini pure. Ma mère faisait un macaroni divin. Et ma tante, d'origine vénitienne, nous servait toujours sa fameuse lasagne avec de toutes petites boulettes dans la sauce tomate pour Noël!

    Misère! C'est ta faute. Me voilà avec une envie irrépressible de me faire un superbe plat de pâtes qu'il faut, cela va sans dire, accompagner d'un verre de vin. MAIS IL NEIGE À PLEIN CIEL ET JE NE PEUX PAS SORTIR SANS M'ENVOYER DANS LE PAYSAGE!!!

    Bon. Je vais essayer de prendre mon mal en patience jusqu'à demain, mais ce ne sera pas facile.

    P.S. J'oubliais les gnocchi au beurre à la sauge de Sr Louise et gli spaghetti Mare et Monti d'Adriano. Je fantasme. Il faut que j'arrête...

    Vendredi prochain, je te reparle de gnocchi fatti colla ricotta!?!?! J'entraîne deux amis au resto pour ce test...

    Bonne fin de semaine quand même!

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    1. Merci Marie Josée pour ton indulgence concernant mes billets, pas toujours aussi alléchant que celui sur la pasta !!
      J'adore ton accès de gourmandise, on te sent en manque et ton imagination voyage à toute allure entre les différentes préparations familiales !!! Mais comment, tu n'as pas une provision de pâtes à la maison ?? Ici, c'est la base de l'alimentation, même si, depuis qu'Alter essaye de surveiller sa ligne, nous avons quelque peu réduit !! En tout cas, je serais bien ennuyée que tu allilles dans le décor pour cause de pasta ! courage et patience, tu vas bientôt faire une gastro pastonomique !!!
      Et ok pour les gnocchi fatti colla ricotta, je sens qu'on va avoir plein de recettes à la sortie.

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    2. Mes problèmes articulaires m'interdisent, entre autres choses, le blé. Les pâtes de maïs...bof! C'est mieux que le caroube comme succédané du cacao, mais quand même. Alors tu comprends que je ne garde pas trop de pâtes à la maison d'où ma débauche d'imagination : «(Il existe une) loi inévitable qui veut que l'on ne puisse imaginer que ce qui est absent.» Proust, Le Temps retrouvé

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    3. saperlotte !! je sens que je vais soigneusement éviter d'écouter mes articulations comme j'évite d'écouter mes artères pour le fromage !! car une vie sans blé ne me semble pas envisageable !!! j'imagine ma pauvre Marie Josée proustienne, combien cette évocation de la pasta t'a été dure !! désolée pour tes articulations mais tu vas bien devoir céder à la tentation !!!!

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    4. Il faut choisir entre les pâtes et le piano...

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  2. Michelaise, je dois avouer qu'en pâtes je ne suis pas très forte, pas forte du tout, mais celles que je préfère se sont les Pennes, parce qu'on peut y glisser les dents de la fourchettes, je ne fais aucune différence avec les pâtes qui sont coulées dans le bronze. Donc tu vois aucune subtilité...

    J'aime aussi beaucoup les petites noeuds papillon... (farfalles)avec du parmesan.

    Donc rien de nouveau sous mon soleil, rien à apprendre avec moi :-(((

    Bisous du soir.

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    1. Les farfalles, au centre c'est dur !! ça craque sous la dent et c'est sympa.
      Ok pour enfiler les penne sur les dents de la fourchette on en met trois et on aspire, ça fait un petit bruit marrant ...
      Je n'ai, quant à moi, aucune subtilité, tu t'en doutes, mais beaucoup de curiosité ! comme toi d'ailleurs

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    2. Mes chères amies, petite leçon d'italien 101 : la langue italienne est plus mélodieuse, à mon oreille du moins, que l'espagnol, car il n'y a pas de «s». La farfalla, papillon devenu féminin en italien, a donc comme pluriel «le farfalle», le «e» devenant le pluriel du «a»... comme le «i» est souvent le pluriel du «o»!

      Buona giornata comunque con un bel piatto di pasta sul balcone!

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    3. Il y a un "s" par contre, et qui sonne fort bien, pour remplacer notre accent circonflexe sur pâte !!!

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    4. Et sul balcone, tu as raison, on a déjeuné dehors aujourd'hui !!!

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    5. C'est effectivement souvent l'explication de la présence de nos circonflexes : testa, bestia, castello,e pasta!!!

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  3. Avant tout complimenti à Alter qui, aussi bien pour la cuisson al dente qu'en vertu de sa prédilection pour les spaghetti se révèle tout à fait digne de la nationalité italienne (que je vais lui conférer là maintenant, M. Napolitano m'excusera j'espère pour cette usurpation momentanée de ses fonctions).
    Quant à tes "parpadelle", Mic', j'ai du rire : ou bien c'est le millionième format de pasta, ou que ce ne sont plutot des "pappardelle" ? Comme si ces "fregole" que je n'avais jamais vues avant ne suffisaient pas... J'avoue ne pas etre étonnée du tout qu'elles t'aient déçue car déja leur nom m'a paru dopé jusqu'à me faire poser la question si j'en connais bien la signification, voilà la confirme:
    Fregola
    1 sf
    stato d'irrequietezza proprio di parecchi animali al tempo della riproduzione
    2 sf
    [in senso figurato] [volgare] voglia, smania
    Donc jamais plus de "fregole" (en sens culinaire...) !
    Alors que tes pappardelle (si c'est d'elles qu'il s'agit...) je les aime moi aussi, et tu sais d'où vient ce mot ? Encore une fois merci le dictionnaire :
    Pappardella
    sf
    scritto, discorso noioso e tirato in lungo
    De façon assez surprenante cette définition contient exactement le meme verbe que nous on utilise pour "tirare la pasta", un seul regard suffit d'ailleurs pour constater que les pappardelle ont été bien et beaucoup tirées, "in lungo e in largo"...
    Le jeu maintenant : ma pasta préférée ainsi que celle de tous les jours, quand ce ne sont pas les spaghetti, ce sont les "fusilli De Cecco". Avec n'importe quelle sauce mais toujours al dente, à la mode d'Alter bien sur...
    Les voilà dans leur paquet :
    http://www.lacompagniadelcavatappi.com/fusilli-gr-500-de-cecco.html
    et "naure" (à gauche) :
    http://www.dececco.it/IT/Pasta-di-Semola/

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    1. Allons, ne soyons pas injustes: quand j'ai connu Alter, il n'avait jamais mangé que des pâtes "cuites à la française" ce qui, a l'époque, était proprement immangeable ! je lui ai donc "appris" la cuisson "al dente", et il est devenu "intégriste" !!!
      Tu verras que j'ai corrigé les pappardelle (avec explications à l'appui sur mes mélanges de sons !!) et l'origine du sens que tu donnes (une sorte de "pensum") me les rend encore plus sympathiques. En fait j'aime leur consistance !
      J'ai soigneusement mis la photo de ces fameuses fregole (sur le paquet c'est fregola au singulier) sarde. J'avoue que je n'avais jamais entendu parler de cela !! Par contre j'adore l'orzo pasta !
      Quant aux fusilli De Cecco, ou d'un autre non ?? je revois aussi (voir commentaire à Aloïs) le restaurant où je les ai découvertes, c'est fou, mes souvenirs d'Italie sont rythmés de "pasta" !!!

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  4. J'en ai trouvé des nouvelles... qui doivent dater.
    Je fais une photo et je te l'envoie...
    Les meilleures c'est tout de même celles que l'on fait soi-même, il faut le matos et le temps.

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    1. Et j'imagine Martine, que tu as "le tour de main" pour les réussir !!! n'ayant pas ce tour de main, je dirai avec toi que les meilleures sont, évidemment, celles qu'on achète fraîches, mais pour autant on en trouve des "sèches" forts bonnes, au moins originales.
      J'attends ta photo ou alors, mieux, tu la mets sur ton site !

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  5. Pour moi, ce sont les "bigoli" vénitiens, de gros spaghetti, préparés comme suit :

    Dans une grande poêle, faire revenir à feu doux et à couvert les oignons émincés, ajouter le vin blanc et le bouillon de volaille puis faire cuire au moins 30 minutes pour obtenir une compotée.
    Ajouter alors de l’huile d’olive et les anchois ou les sardines hachés. Faire cuire 10 minutes (pendant la cuisson des pâtes).
    Faire cuire les pâtes « al dente » dans beaucoup d’eau salée.
    Bien les égoutter, les mettre dans la poêle avec la sauce aux anchois puis mélanger le tout pour que les pâtes s’imprègnent de sauce.
    Saupoudrer généreusement de persil ciselé et décorer avec un anchois.
    Servir aussitôt.

    Tu te doutes que la recette ne vient pas de moi...

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    1. Je me doute que la recette est celle de ton tendre et cher Norma !! Allons donc pour toi, ce sera les bigoli !

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  6. Je pense que tu exagères un peu pour le prix des pâtes.
    Ou bien il y a tellement longtemps que tu n'as pas mangé de caviar que tu en as oublié le prix!
    J'achète régulièrement cette marque de pâtes ARTISANALES qui proviennent des Abruzzes ,issues des meilleurs blés durs et exclusivement fabriquées dans des moules en bronze et non en Téflon ce qui crée des formes striées moins lisses .Cela donne une pâte plus rugueuse qui absorbe bien les sauces.
    Ajoute à cela une faible température de séchage qui préserve la valeur nutritive et le goût du blé lors de la cuisson.
    Ce n'est pas Lustucru!!!
    Bref je les paie entre 3,90.€ et 6,90€ le paquet de cinq cent grammes.
    Les plus chères les Gnocchetti Sardi ou Malloreddus
    Je n'ai pas vraiment de pâte préférée avec peut-être un penchant pour les orechiette ces pâtes qui proviennent des Pouilles ,faites à la main. Le mouvement du pouce, lui donnant la forme d'une petite oreille.
    Que l'on peut préparer comme un risotto
    C'est amusant j'en ai préparé jeudi soir d'après une recette de Ducasse que j'ai adaptée et j'avais prévu d'en faire un de mes prochains billets.
    Peut-être vais-je bousculer mon calendrier de publication!!!
    Tu vas encore dire que je suis plus bavarde que lors de tes billets sur l'art ,mais d'abord je ne vois pas ce que je pourrais ajouter à ces billets là, habitant Paris je peux voir toutes les expositions que je souhaite et de ce fait ce ne sont pas toujours tes billets sur l'art qui me captivent le plus car je ne suis pas frustrée en la matière.
    Et puis j'aime cuisiner mais des bons produits,donc je suis toujours à l'affût, quitte à les payer le prix du caviar,ce qui ne m'est encore jamais arrivé!

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    1. Hi hi Aloïs, on va dire que le caviar, ici, n'est pas cher !!! puisqu'il nous vient de la Gironde !! Bien sûr c'est une plaisanterie et tu as raison, la dernière fois que j'en ai mangé c'était quelques grains déposés dans la tabatière de ma main droite !!! C'était à Saint Seurin d'Uzet, capitale du caviar de France !!! où nous étions pour une démonstration étonnante d'orgue de bois. Bref, n'étant guère accoutumée des cocktails et autres sauteries, mon approche du caviar est, et reste, très théorique. C'était simplement une boutade !
      Je me doute bien Aloïs que mes billets sur "l'art", écrits comme je le disais dans un commentaire, pour me faire plaisir et qui n'ont aucune ambition autre que de parler du peu que nous avons et dont nous sommes obligés de faire notre miel, n'ont rien de bien novateurs pour toi !!! Je monte en épingle de petites choses, avec aussi le désir de montrer qu'on peut trouver son bonheur dans les choses simples car il est important de profiter de ce qu'on a près de soi, sans forcément toujours rêver de plus, de mieux ou d'ailleurs.

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    2. Quant aux orecchiette Françoise, il faut justement vraiment qu'elles soient fraîches (voir le commentaire de Martine) enfin à mon sens, c'est ainsi que je les préfère. J'ai toujours en mémoire le souvenir de la première fois où j'ai mangé ce type de pâtes !! c'est fou la mémoire !!!

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  7. Très classiquement le spaguetto ! Le seul pouvant être cuit de façon vraiment ajustée, à donner un fin craquant sans voir l’air de n’être point cuit, à offrir un beau choix de calibres et à retenir la sauce sans excès. Sans compter, avec ces pâtes-là, le plaisir du geste. Dans la passoire fumante elles s’égouttent joyeusement avec les jolis miroitements que jette le petit filet d’huile ajouté à l’eau de cuisson. Quoi de plus italien ensuite que cet agile enroulement, vif et gourmand, autour de la fourchette ? Et cette sensualité des lèvres qu aspirent les derniers bouts des pâtes ensaucées, luisantes des petits coups de langue donnés, tendues comme pour un baiser passionné…La dent qui mordille gentiment (al dente bien sûr !) loin des françaises nouilles molassonnes. Tout est en mouvement pour le plaisir des sens ! Cela n'a pas échappé à Alter qui, si j'ai bien compris, en homme de goût, est lui aussi accro au spaguetto (cuisiné par toi, bien sûr !)

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    1. pas de doute, ça te rend lyrique le spaghetto roberto ! tu as oublié, dans le plaisir de cette pâte là, le test de cuisson qui consiste à en croquer un pour voir si le centre est encore blanc, et à égoutter juste avant que le dernier point blanc ait disparu !! Et comme dirait Alter, jamais de cuiller pour enrouler les pâtes ! Hérésie inventée par n os compatriotes quand ils découvrirent l'Italie dans les années 60 !!! La honte suprême étant ceux qui les coupent avant de les manger !!!!
      A propos de honte, il me revient une anecdote : durant l'année qu'elle passa à Rome, Mandarine avait très gentiment invité sa grand-mère à venir lui rendre visite. Et elles allaient au restaurant ensemble : Mandarine y a connu les pires moments de son séjour italien car, à chaque repas, il lui fallait demander une cuisson spéciale pour sa grand-mère qui ne supportait pas le "al dente". Je crois que ma fillette ne s'en est pas remise !!

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  8. C'est d'accord la sauce y fait pour beaucoup, mon tierce sera macaroni mais gratinés, spaghetti à la bolonaise, lasagne aux épinards sans oublier les ravioli à toutes sortes de préparations. Les plus rares sont les fraiches que je me lance à fabriquer de plus en plus rarement dommage les fait maison sont toujours les meilleures !
    Un petit mot pour les gnocchi lointaines cousines que j'adore.

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    1. quelle appétissante famille, dans la famille pasta, je choisis ... les gnocchi !

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  9. Je les aime toutes! J'adore les pasta!!! Les fraîches que je fais de temps en temps ! Et les lasagnes. Accompagnées souvent avec des légumes ou un simple coulis "maison" ou une sauce plus élaborée...

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    1. Ah mais que voilà la bonne réponse... je les aime TOUTES !! Bravo Enitram

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  10. Les tagliatelle ai fruti di mare ont ma préférence. Bonne soirée, Michelaise!
    Anne

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    1. Allons pour les tagliatelle, pas si loin des pappardelle !! juste une question de largeur...

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  11. Coucou Michelaise. Rapidement je vais t'avouer mes préférences en ce qui concerne les pâtes : j'aime beaucoup les spaghetti, je craque pour les tagliatelles et j'aime aussi les penne.... Est-ce parce que leur nom sonne comme celui des adorables amoureux de Peynet ? ;-)
    En fait je crois que c'est surtout parce que mon homme sait très bien les préparer avec des petites sauces savoureuses... Je ne m'occupe plus jamais de la cuisson des pâtes car je suis (j'étais) une spécialiste de la "purée de nouilles".... Un scandale pour les vrais amateurs... ;-)

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    1. Oxy, tu es une midinette !!!! c'est ton homme que tu aimes, plus que la pasta !!!! mais si tu les fais trop cuire, gare à toi, tu vas te faire exclure des amateurs de pasta !!!

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  12. Les coquillettes !
    Quand je suis arrivée à Turin, j'ai cherché les coquillettes dans le rayon pâtes, un choix impressionnant mais pas de coquillettes.
    Bon dimanche.

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    1. Tu as raison Evelyne !! y pas de coquillettes en Italie !

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  13. Bonsoir Michelaise. Les pâtes, je les adore quelle que soit leur forme ! Mais j'avoue qu'avec une sauce au fromage, ce sont les penne que je préfère, surtout quand leur "creux" a fait le plein de sauce... Miam !

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  14. Si tu le souhaites, je t'ai taguée sur mon blog (mais tu as sûrement déjà reçu cette invitation !)
    Bises.

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