Suite de
Castres : Francisco Pacheco le maitre de Velasquez
L'organisation du parcours se veut une sorte de progression au travers d'un rêve éveillé, sans doute écrit et mis en scène par le conservateur du musée, Jean-Louis Augé. Ce dernier, d'une œuvre à l'autre, passant de lourdes tentures qui s'écartent peu à peu pour nous guider vers la lumière, nous invite à cheminer devant des oeuvres disparates mais fort évocatrices d'univers oniriques. Cela frise un peu le Fantasy mais après tout, il ne fait pas être bégueule, et Hyrbides et Chimères nous offre un conte en œuvres d'art qui a le mérite d'une grande originalité. Un hommage particulier est rendu par le jeune ((? né en 1972 !) peintre Damien Deroubaix au grand maître Goya, dont 10 Caprices nous attendent à la fin du parcours. Je vous le laisse parcourir sans autre forme d'explication, c'est déjà très évocateur !
FIN
Intéressante initiative de mêler ainsi les époques, en espérant qu'elle puisse servir à démontrer la continuité des démarches artistiques. Merci pour ce beau reportage.
RépondreSupprimerC'était surprenant au premier abord mais finalement tres bien construit et pas aussi gratuit qu'on aurait pu le craindre ...
Supprimeret oui, rêvons-un peu... C'est qu'il y en a des choses à voir à Castres!
RépondreSupprimerAh oui... qui l'eut cru Eimelle ... ah ces petites villes endormies de province !!
SupprimerBon je sens qu'il va falloir que je la prenne cette route de Castres
RépondreSupprimerJ'espère que vous aurez autant de chance que nous pour Vermeer seuls ou presque!!!
Oh je crois que tu ne regretteras pas.... Vermeer une vraie belle surprise ... on envisage d'y retourner après s'etre fait virer à 20heures .... tellement riche cette expo
SupprimerVoilà un univers fantasmagorique qui me donne un peu la chair de poule... Très étonnant en tout cas...
RépondreSupprimerJ'imagine le plaisir que tu as eu de découvrir une expo aussi originale.
Tu n'as pas tort oxy c'est parfois un peu malsain ... mais comme l expo était bien faite ça passait
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