dimanche 4 novembre 2007

NICOLAS QUELQUE CHOSE

Quand vous appelez Nicolas Le Beuan Bénic, et que vous êtes artiste, pour qu’on se souvienne de vous, il faut trouver une idée géniale… c’est ce qu’a fait cet ancien pharmacien belge qui peint la chlorophylle et que nous croisé au détour d’une galerie d’art !! Il a misé sur l’adresse de son site, que j’ai retrouvé sans problème :

http://www.nicolasquelquechose.com/

Ce n’est pas la photo de la galerie en question, mais celle de la brasserie voisine, avec une tentative d’autoportrait en bas à droite !!!

Bon, pas de doute, ce dernier matin, nous traînons un peu les pieds, la fatigue certes, mais aussi un manque d’enthousiasme généralisé pour aller voir notre dernière expo consacrée à l’atelier de Rubens… j’ai même entendu quelqu’un dans les rangs dire (je ne cafterai pas en disant qui !!) « Allez, plus vite on y va, plus vite on en sera débarrassés ». Et pourtant !! Une vraie réussite cette expo ! Un énorme travail de recherche sur la répartition des taches entre le maître et ses collaborateurs est décliné par des parallélismes, des comparaisons, des mises en valeur de détails frappants. Le tout présenté de façon claire et aérée, très bien pensé, parfaitement compréhensible, voire attractif. Nous sommes entrés en n’ayant pour Rubens qu’une estime « culturelle », un peu comme un devoir, nous sommes ressortis en aimant son œuvre. Prêts à aller à Anvers pour visiter sa maison et parcourir la ville sur ses traces !

Rubens : l’atelier du génie

Nous avons terminé notre séjour à la brasserie du musée, un cadre assez époustouflant, noir et blanc, très zen mais original, lumineux et élégant. L’accueil était sympathique, même si le service s’est ensuite révélé franchement désagréable, nous avons passé un moment délicieux. La cuisine, étoilée et toquée, était succulente et raffinée. La carte des vins proposait des blancs « vifs, nerveux, septentrionaux »… ou « plus riches, plutôt méridionaux, voire centraux, quoique… » à moins que ce ne soit « pour faire plaisir à vos beaux parents, de partout ! ». Et bien sûr on pouvait les préférer « doux, doux, doux ». Quant aux rouges, le choix se faisait entre des « souples, peinards, à boire comme ça », « des plus costauds, pas lourds, mais présents » et les derniers « en prenant le temps de faire un peu attention ». Sauf bien sûr à choisir des bières « hop, hop, hop » !

La brasserie du musée

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