Lundi soir, fin du week-end de Pâques.
Nicole : "Tu as l'air triste"
Michel : "Oui, gros coup de blues"
Nicole : "Moi aussi, j'ai l'âme en coton"
Michel : "..."
Nicole : "Pourquoi t'es triste toi ?"
Michel : "Pour la même raison que toi..."
Nicole : "Tu es vraiment sûr que c'est la même ?"
Michel :"Oui, celle qu'on ne se dite pas depuis le début du week-end"
Nicole : "Et oui... ça fait un peu mal... et tu crois qu'on aurait dû..."
Michel : "Oui, mais..."
Nicole : "Mais non, faut rester discrets... Encore que... "
Michel : "Tu as raison. De toutes façons..."
Nicole : "Oui, bien sûr, de toutes façons. Et puis peut-être que..."
Michel : "Non. Enfin pas sûr"
Nicole : "Tu crois que c'est normal ?"
Michel : "Chais pas. Sans doute. Peu importe."
Nicole : " Bof, y a pas de norme"
Michel : "Sauf que... "
Nicole : "Peut-être. Peut-être pas. Chais pas moi non plus"
Michel : "On est sots"
Nicole : "Sois pas triste. Je t'aime."
Michel : " Et moi donc !"
Jolie complicité, et merveilleux amour quand les mots n'ont pas besoin de tout dire pour être compris.
RépondreSupprimerMerci Moun, même le cœur gros ça aide pas vrai d'être deux pour de vrai ! Positivons !!
RépondreSupprimerIl est joli le papillon qui remplace le panda caché derrière ses roses !
RépondreSupprimerJoli diablog.
RépondreSupprimerPas diabolique, juste nostalgique ! Merci Vince de tes visites
RépondreSupprimerC'est trop mignon !!!!
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