Mais il n'a pas osé pouffé !! Petit clin d'oeil amical à Chic (alias Vincent)...
C'était plutôt "Attente, silence"...
Ce soir nous avons eu un beau coucher de soleil !!
Autre clin d'oeil à Alba cette fois...
Un autre soir ! Et tant de soirs que je n'ose tous vous les infliger... Le plus étonnant étant qu'on ne s'en lasse pas, qu'on n'est jamais blasé et qu'on ne peut pas s'empêcher de prendre, encore, et encore des photos.
Un autre soir ! Et tant de soirs que je n'ose tous vous les infliger... Le plus étonnant étant qu'on ne s'en lasse pas, qu'on n'est jamais blasé et qu'on ne peut pas s'empêcher de prendre, encore, et encore des photos.
Moi non plus je ne m'en lasse pas, tu peux continuer !
RépondreSupprimerMerci merci Evelyne, promis je n'abuserai pas de ton feu vert !
RépondreSupprimer"Infliger" n'est vraiment pas le terme qui convient Michelaise. Pour ma part je ne me lasse pas de ces photos de ciels. Ta page est douce et sereine et cela fait beaucoup de bien.
RépondreSupprimerJe n'aurai donc qu'un mot : ENCORE !!! :-)
Merci Oxy de ton indulgence, mais, un peu comme Chic se fixe des challenges étranges (grimper sans reprendre souffle, voir son dernier billet), je me suis fixé de ne pas répéter, mais j'avoue qu'avec mon estuaire j'ai un peu de mal, car j'ai chaque jour l'impression de le découvrir !!
RépondreSupprimer:))) Je vois...on s'moque....maint'nant le challenge, c'est "la" rencontre du 3e type...bon c'est une parabole ou une métaphore ou tiens...! une image..."ze" photo ;)))
RépondreSupprimerNous ne nous lassons pas de regarder le ciel.
RépondreSupprimerChaque jour est une nouvelle page.
Bonne semaine
Pourquoi s'interdire de répéter quand, finalement, c'est toujours différent et toujours source de plaisir ?
RépondreSupprimerAh non, Mic, surtout 1. n'utilise pas le verbe (nous) "infliger" à propos de vos merveilleux couchers de soleil, et 2. ne cesse pas de nous donner l'occasion de les savourer nous aussi à travers tes belles images. D'ailleurs les lieux marquent profondement les tramonti, et "chez vous" c'est un lieu très beau et assez particulier, que je connais et apprécie pas à pas justement grace à tes photos (un lieu qui transfuse visiblement sa personalité dans "sa" mer, "son" ciel, "ses" nuages et "son" soleil).
RépondreSupprimerDans un autre blog que tu connais bien, un commentaire au post qui commence par "Amis du Cabinet de Curiosités," m'a frappée en particulier: il s'agit d'une citation d'après H. D. Thoreau: "Jugez de votre santé à votre capacité d'accueillir avec joie le matin et le printemps". Bien, je crois qu'accueillir le soir (et l'automne) avec autant d'attention et de profondeur ce n'est que l'autre face de la meme medaille, qui s'appelle aimer et vivre la vie.
Question finale: est-ce qu'il existe en France aussi quelque chose pareille à notre: "Rosso di sera, bel tempo si spera; rosso di mattina, brutto tempo si avvicina"?
Bonne journée (de beau temps j'espère, alors qu'ici à Trieste il pleut).
Bonjour, Michelaise.
RépondreSupprimerOui, c'est vrai.
Au crépuscule ou à l'aube, on lève la tête et c'est l'enchentement...
Merci beaucoup.
Je t'embrasse.
Herbert, pas de doute, tu t'es concerté avec Siu, le matin, le soir, le printemps, l'automne, on se sent le coeur tout émoustillé par ces moments de plénitude de la nature !!
RépondreSupprimerChic, je vais tenter de relever le challenge... du 3ème type ! à suivre !!! Mais ça risque d'être une histoire... on verra ! à suivre...
Norma, Alba, pourvu que je ne vous prenne pas au mot, comme dans ce film de Paul Auster, dont j'ai forcément oublié le nom, où un personnage photographiait tous les jours, le même coin de rue, à la même heure !!!
Siu, je connais surtout des dictons de saison, du genre :
RépondreSupprimerNoël au balcon
Pâques aux tisons
En avril,
Ne te découvre pas d’un fil,
En mai,
Fais ce qu'il te plaît.
En termes de météo au jour le jour, à part :
La pluie du matin
N'arrête pas le pèlerin.
Je n’en ai pas beaucoup dans mon escarcelle … Donc j’ai cherché sur le net et trouvé celui dont tu parles, à peu près identique d’ailleurs (ce qui laisse bon espoir sur sa véracité):
Temps rouge le soir, laisse bon espoir ;
Temps rouge le matin, pluie en chemin.
Je t’en propose d’autres :
En août, rosée du matin, tout va bien
Soleil brûlant le matin n’a pas d’agréable fin
Arc-en-ciel du soir,
Du beau temps espoir.
Quand l'aubépine entre en fleurs,
Crains toujours quelques fraîcheurs.
Si le canard crie,
C’est signe de pluie.
Quand le chat se débarbouille,
Bientôt le temps se brouille.
Quand le chat passe sa patte sur la tête,
Bientôt il fera tempête.
Si le chat se frotte l'oreille,
le mistral se réveille.
Ciel très étoilé,
N’est pas de longue durée.
Quand le cop chante à midi,
Signe d'un temps de paradis.
Quand le coq chante le soir,
C’est signe qu'il va pleuvoir.
Chante la grive,
La pluie arrive.
Pie dans la ferme,
Neige à court terme.
Vent d'orage, pisse fin ;
Vent d'autan, pluie demain.
Et le dernier, trop savoureux :
Quand le vent du nord tourne à la pluie,
Ça pisse plus qu'aucune truie.
ça me fait le même effet. On se demande ce qu'on fait là dans ce coin paumé du monde, de la ville qu'on aime bien et puis il se couche et on se sait gardien fidèle de son sommeil.
RépondreSupprimerSouvent l'objectif ne rend pas cet émerveillement familier, ces différences d'un soir à l'autre, et en ce moment ce vertige de le voir tomber si vite ! Il faut se précipiter pour le rattraper.
Tu as vu ? Il revient le matin, la route s'éclaire, ouff !
et aussi pour compléter la collection : ciel pommelé, femme fardée sont de courte durée !
RépondreSupprimermais pitié encore et encore des coucher de soleil, tant de variante de lumière aucun ne se ressemble, feu vert et rayon vert pour vos photos
Bonne journée
Josette
Ni tout à fait le même ni tout à fait un autre
RépondreSupprimerMais toujours magnifique
Terrassée par ce véritable feu d'artifice de proverbes, Mic, je ne suis capable que d'une toute petite relance: aprile non ti scoprire, maggio va' adagio (meme pas des vraies rimes, et en tout cas plus de prudence par rapport aux Français, ou bien moins de confiance dans le mois de mai, je sais pas...).
RépondreSupprimerQuant au personnage de Paul Auster qui photographiait tous les jours, le même coin de rue, à la même heure, ça m'a fait penser à quelqu'un qui a déjà photographié 233 fois le meme arbre. Ce que j'aime beaucoup, d'ailleurs, à cause probablement du fait qu'un arbre symbolise peut-etre la vie et ses changements un peu de la meme façon qu'un ciel au lever ou au coucher de soleil.
Il est là, "that old tree":
http://tungelstadailyphoto.blogspot.com/2011/02/that-old-tree.html
On ne se lasse pas de la beauté. Encore, encore!
RépondreSupprimerAnne
Au moins,un arbre, SIu, ça pousse, verdit, change, s'effeuille, jaunit, verdit bref ça vit !! je vais aller voir c'est curieux comme idée mais pas mal. C'est vrai que le proverbe aprile non ti scoprire, il ne rime même pas, or c'est la rime qui fait le dicton. Tu n'es pas obligée de tous les apprendre par coeur, y aura pas d'interro !!
RépondreSupprimerJosette, j'adore ciel pommelé, femme fardée, c'est génial comme dicton... enfin pour la Michelaise que je suis et qui ne sait pas utiliser le moindre fard sans s'en mettre plein le nez ! merci pour le feu vert.
Merci Anne de cet enthousiasme
Françoise, c'est cela, mais plus souvent changeant qu'identique, enfin j'ai vraiment l'impression que chaque fois c'est nouveau.
Même réaction pour les couchers de soleil on croit toujours détenir un meilleur cliché que la fois précédente, alors on clique, on clique !
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